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Format |
Télévision
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| Titre de l'émission |
PROPOS ET CONFIDENCES
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| Titre du segment | Claire Martin - La femme qui écrit (2 de 2)
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Date de création
| 1978-01-24
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| Durée du segment | 00:27:50
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| Invités | Martin Claire.
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| Artisans | Faucher Jean, réalisateur.
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| Collection(s) |
Société Radio-Canada
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| Résumé | Claire Martin se raconte :
1957, l'écriture de son premier livre suite aux encouragements de René Arthur. Lauréate du Prix du Cercle du livre de France Pierre Tisseyre pour son recueil de nouvelles "Avec et sans amour" qui sera publié à Paris aux Éditions Laffont. Ses retrouvailles à Paris avec André Serval. La publication de son premier roman "Doux-amer" chez Laffont. Les réceptions mondaines. Son retour au Canada et le début de l'écriture de "Quand j'aurai payé ton visage". Sa déception devant le mouvement de relâchement dans l'écriture (le joual). Les lettres d'injures de jeunes écrivains. Sa déception sur le plan de la politique intérieure et internationale. Publication en 1962 de "Quand j'aurai payé ton visage", dernier roman à être publié conjointement chez Laffont et au Cercle du livre de France. Le refus de Laffont de publier ses mémoires d'enfance, "Dans un gant de fer" (premier tome), qui a connu un grand succès au Canada, suivi de "La joue droite" (2e tome). Son refus de réécrire ses mémoires d'enfance, à la demande d'Hervé Bazin, pour la maison d'édition Grasset. L'adaptation radio de son roman "Les morts". Les motivations qui la pousse à cesser d'écrire. |
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| Mots clés | Culture — France — Joual — Langue — Littérature — Livre et édition — Médias — Roman — Société — Souvenirs |
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Remarques sur
le document | Cette émission a été rediffusée le 1979-07-20. |
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| Identifiant | 1188517 |
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| Mise à jour |
2019-03-07 |
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| 2 |
Format |
Radio
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| Titre de l'émission |
YVES THÉRIAULT SE RACONTE
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Date de création
| 1982-07-14
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| Invités | Thériault Yves, écrivain
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| Artisans | Carpentier André, animateur; Major André, réalisateur
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| Collection(s) |
Société Radio-Canada
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| Résumé | En 1940, Yves Thériault produit de nombreux textes radiophoniques et commence à écrire des «romans à dix sous». André Carpentier demande à l'écrivain s'il se sentait alors tiraillé entre cette production alimentaire et ses ambitions littéraires. Yves Thériault décrit le monde de l'édition et la situation des écrivains québécois de cette époque. |
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| Mots clés | Culture — Littérature — Livre et édition — Médias — Radio-Canada — Roman — Société |
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Remarques sur
le document | Cette émission a été rediffusée le 1985-07-12. |
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| Identifiant | 20018001 |
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| Mise à jour |
2019-03-07 |
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| 3 |
Format |
Radio
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| Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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| Titre du segment | On n'a rien inventé (5 de 10)
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Date de création
| 1997-08-08
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| Durée du segment | 00:58:07
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| Invités | Maurois André, auteur, Bazin Hervé, auteur; Pilon Jean-Guy, auteur, poète; Godbout Jacques, auteur
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| Artisans | Morency Anne, journaliste, animatrice, présentatrice; Roy André, réalisateur
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| Collection(s) |
Société Radio-Canada
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| Résumé | Les fantômes qui hantent la diffusion de la littérature: Anne Morency nomme les deux questions qui préoccupent le monde littéraire au Québec dans les années 1950-1960: la diffusion de la littérature québécoise et l'engagement des écrivains dans la société. André Maurois, de passage au Québec, croit que les écrivains d'ici sont très bons et il encourage les maisons d'éditions québécoises à créer des liens avec les pays francophones pour élargir le marché des lecteurs. À Hervé Bazin, un animateur a posé la question "Quel avenir voyez-vous à la littérature canadienne-française telle qu'elle se présente actuellement?" Le petit marché québécois reste un handicap pour lui et il encourage les éditeurs d'ici à élargir leur marché au marché francophone européen. Le goût d'une certaine facilité dans l'écriture est également à éviter. Par contre, les écrivains d'ici décrivent une société nouvelle et n'ont pas un long passé littéraire qui les contraint. Lors de l'émission "La Revue des arts et des lettres", cinq écrivains (Yves Thériault, Claire France, Hervé Bazin, Roger Lemelin et Marcel Dubé) répondent à la question "Quels sont les principaux problèmes de l'écrivain canadien?" La question du petit lectorat ressort encore. Un débat sur le médium, livre, théâtre, radio ou télévision, apparaît.
Le poète Jean-Guy Pilon définit l'écrivain canadien-français comme paresseux, sans courage et ne remplissant pas son rôle social d'écrivain. Il admet toutefois que l'écrivain n'étant pas reconnu socialement, on l'empêche de jouer son rôle dans la société. À l'émission "Tribune libre", Paul Lacoste pose la question "Comment doit-on concevoir l'engagement de l'écrivain dans la société canadienne-française?" Les écrivains Yves Thériault, Jacques Filiatrault, Claude Jasmin et les critiques littéraires Jean-Charles Falardeau et Gilles Marcotte répondent à la question.
On peut affirmer que la littérature québécoise a fini par s'imposer et a contribué à la Révolution tranquille. Elle a renouvelé ses formes et son langage. |
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| Mots clés | Art engagé — Culture — Histoire — Littérature — Livre et édition — Médias — Société |
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| Identifiant | 1257439 |
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| Mise à jour |
2019-03-07 |
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| 4 |
Format |
Radio
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| Titre de l'émission |
UN DIMANCHE À LA RADIO
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| Titre du segment | Chronique Livres
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Date de création
| 1999-10-31
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| Durée du segment | 01:07:56
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| Invités | Chetelat Jean-François, libraire; Guillet Yves, libraire; Noël Francine, auteur
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| Artisans | Giguère Suzanne, chroniqueuse; Guay Hervé, chroniqueur; Lévesque Robert, chroniqueur; Moreau Francine, animatrice; Godin Claude, réalisateur
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| Collection(s) |
Société Radio-Canada
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| Résumé | Robert Lévesque suggère les miniatures en prose de Jacques-Bernard Roumane "Adikia" paru chez Leméac et élabore sur la pièce radiophonique que René Lévesque a écrit à l'âge de 22 ans "Aux quatre vents" publiée chez Leméac.
Suzanne Giguère a exploré la librairie virtuelle. Elle souligne la venue du plus grand distributeur de livres aux États-Unis, Amazon.com, qui a pignon sur le Web. Elle considère l'attrait de la librairie virtuelle pour les gens éloignés des librairies traditionnelles. Elle rencontre Jean-François Chételat, directeur de la librairie Gallimard et responsable du site Internet et Yves Guillet, libraire chez Le Fureteur à Saint-Lambert, sur l'impact de l'arrivée de la librairie virtuelle et de son développement sur les librairies traditionnelles. Ils élaborent sur les livres numériques et sur la menace des magasins à grandes surfaces pour les librairies.
Hervé Guay fait la critique de l'étude universitaire d'Olga Hazan "Le Mythe du progrès artistique" publiée aux Presses de l'Université de Montréal.
Francine Moreau s'entretient avec l'auteure Francine Noël sur son dernier roman "La conjuration des bâtards". Indignée par toutes sortes d'injustice, Francine Noël parle de la tolérance de la société envers des futilités et de l'intolérance à d'autres endroits. Elle élabore sur le bénévolat et la gratuité, sur son obsession de la mort, sur le métissage biologique et culturel, sur la transmission du savoir et de l'importance de travailler les niveaux de langue dans son écriture. Finalement, elle confirme que ses projets d'écriture sont pour le théâtre et l'autobiographie. |
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| Mots clés | Culture — Littérature — Livre et édition — Médias — Société — Vient de paraître |
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| Identifiant | 1176111 |
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| Mise à jour |
2019-03-07 |
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